En bref
Ceux qui conçoivent la ville doivent désormais l’imaginer plus sobre, économe, accueillante du vivant. Cela veut dire ménager des espaces pour la biodiversité, intégrer le dérèglement climatique, utiliser des matériaux biosourcés. Mais certains vont plus loin : ils s’appuient sur des propriétés du vivants pour imaginer des solutions durables. Cela s’appelle le biomimétisme.