Avec Exopush, Colas démocratise l’exosquelette

En bref

Pour préserver la santé de ses salariés, le géant des travaux publics a été précurseur dans l’utilisation des exosquelettes.

Tout ça part d’une réflexion entamée en 2009. A cette époque, l’agence de Colas Genève souhaitait améliorer les conditions de travail de ses métiers manuels. Ils étaient partis sur les cas d’usage du tireur d’enrobé, des compagnons qui exécutent une tache qu’on ne peut pas mécaniser. Et, quelques années plus tard, la start-up RB3D, basée à côté d’Auxerre et que nous avions rencontré au Salon Inno-Robo, à Lyon, nous a présenté une modélisation qui reproduisait l’effort des compagnons sur le terrain. C’est comme ça qu’en 2014, nous avons coconstruit avec eux un premier prototype.